“Je suis comme un pont fragile, reliant à travers l'infini le passé et le présent. Je serre la main maternelle. Je ne peux pas la laisser échapper, car sans moi ma mère serait seule.”

East Wind: West Wind

Dernière mise à jour 22 mai 2020. L'histoire
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Pearl S. Buck 8
écrivain américaine 1892–1973

Citations similaires

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“La philosophie, elle guérit uniquement les malheurs passés et les malheurs à venir; mais, pour les malheurs présents, tu te démerdes comme tu peux.”

Yvan Audouard (1914–2004) écrivain français

Reformulation par Antoine le Vertueux d’une phrase lue dans un livre dont il a oublié le titre.
Le Vertueux a tous les vices, 1965

Cette traduction est en attente de révision. Est-ce correct?
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“Il est aussi difficile de supposer une mère sans amour maternel qu'une lumière sans chaleur”

Charles Baudelaire (1821–1867) poète français

Petits Poèmes en prose, 1869

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“Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu'il m'en souvienne
La joie venait toujours après la peine

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
des éternels regards l'onde si lasse

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

l'amour s'en va comme cette eau courante
L'amour s'en va
Comme la vie est lente
Et comme l'Espérance est violente

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure”

Alcools
Variante: Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu'il m'en souvienne
La joie venait toujours après la peine
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l'onde si lasse

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

L'amour s'en va comme cette eau courante
L'amour s'en va
Comme la vie est lente
Et comme l'Espérance est violente

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

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“Comme mon cœur battait tandis qu'il revenait vers moi au pas de course à travers le champ! Il courait comme s'il avait dû me porter secours. Et je fus tout contrit; car au fond de moi je l'avais toujours un peu méprisé.”

James Joyce (1882–1941) romancier, auteur dramatique, poète, critique et professeur irlandais

How my heart beat as he came running across the field to me ! He ran as if to bring me aid. And I was penitent ; for in my heart I had always despised him a little.
en
Dublinois, 1914, Une rencontre (An Encounter)

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