La mer est tout! Elle couvre les sept dixièmes du globe terrestre. Son souffle est pur et sain. C'est l'immense désert où l'homme n'est jamais seul, car il sent frémir la vie à ses côtés. La mer n'est que le véhicule d'une surnaturelle et prodigieuse existence; elle n'est que mouvement et amour.
Part I, ch. X: The Man of the Seas
Twenty Thousand Leagues Under the Sea (1870)
Jules Verne: Quotes about the sea
Jules Verne was French novelist, poet and playwright. Explore interesting quotes on sea.
Voici la conclusion de ce voyage sous les mers. Ce qui se passa pendant cette nuit, comment le canot échappa au formidable remous du Maelstrom, comment Ned Land, Conseil et moi, nous sortîmes du gouffre, je ne saurai le dire.
Part II, ch. XXIII: Conclusion
Twenty Thousand Leagues Under the Sea (1870)
L'esprit humain se plaît à ces conceptions grandioses d'êtres surnaturels. Or la mer est précisément leur meilleur véhicule, le seul milieu où ces géants près desquels les animaux terrestres, éléphants ou rhinocéros, ne sont que des nains — puissent se produire et se développer.
Part I, ch. II: Pro and Con
Twenty Thousand Leagues Under the Sea (1870)
<p>Les ondulations de ces montagnes infinies, que leurs couches de neige semblaient rendre écumantes, rappelaient à mon souvenir la surface d'une mer agitée. Si je me retournais vers l'ouest, l'Océan s'y développait dans sa majestueuse étendue, comme une continuation de ces sommets moutonneux. Où finissait la terre, où commençaient les flots, mon oeil le distinguait à peine.</p><p>Je me plongeais ainsi dans cette prestigieuse extase que donnent les hautes cimes, et cette fois, sans vertige, car je m'accoutumais enfin à ces sublimes contemplations. Mes regards éblouis se baignaient dans la transparente irradiation des rayons solaires, j'oubliais qui j'étais, où j'étais, pour vivre de la vie des elfes ou des sylphes, imaginaires habitants de la mythologie scandinave; je m'enivrais de la volupté des hauteurs, sans songer aux abîmes dans lesquels ma destinée allait me plonger avant peu.</p>
Source: Journey to the Center of the Earth (1864), Ch. XVI: Boldly down the crater
<p>Cet enlèvement, si brutalement exécuté, s'était accompli avec la rapidité de l'éclair... Un rapide frisson me glaça l'épiderme. A qui avions-nous affaire ? Sans doute à quelques pirates d'une nouvelle espèce qui exploitaient la mer à leur façon.</p><p>A peine l'étroit panneau fut-il refermé sur moi, qu'une obscurité profonde m'enveloppa.</p>
Part I, ch. VIII: Mobilis in Mobili
Twenty Thousand Leagues Under the Sea (1870)