“Ô l'amour d'une mère! amour que nul n'oublie Pain merveilleux qu'un dieu partage et multiplie Table toujours servie au paternel foyer Chacun en a sa part, et tous l'ont tout entier”
Le Bateau ivre Variante: Mais vrai, j'ai trop pleuré. Les Aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer: L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes. O que ma quille éclate! O que j'aille à la mer!