“La vie change après, mais on ne peut pas s'imaginer comment. Cela prend du temps à comprendre, pas comme un déménagement où on ne trouve plus rien. Non, tout est à sa place, mais rien n'est pareil. Sauf qu'on ne le sait pas avant longtemps. On le sait, bien sûr, mais on se demande pourquoi il n'y a pas plus de preuves.”
Guyana
Élise Turcotte 9
écrivaine canadienne 1957Citations similaires
 
                            
                        
                        
                        
                                        
                                        grc 
Apologie de Socrate, 29a-b. 
Chez Platon
                                    
                                        
                                        En un alma llena cabe todo y en un alma vacía no cabe nada. ¡Quién comprende! 
es
                                    
 
                            
                        
                        
                        
                                        
                                        La terre, la mer, les étoiles sont des choses. Les plantes, les arbres, les végétaux en général sont également des choses, à moins qu'on ne fasse apparaître en eux une sensibilité au sens transcendantal, c'est-à-dire cette capacité de s'éprouver soi-même et de se sentir soi-même qui ferait justement d'eux des vivants -- non plus au sens de la biologie mais au sens d'une vie véritable, laquelle est la vie phénoménologique absolue dont l'essence consiste dans le fait même de se sentir ou de s'éprouver soi-même et n'est rien d'autre --, ce que nous appellerons encore une subjectivité. 
Livres sur la culture et la barbarie, La Barbarie, 1987
                                    
 
                            
                        
                        
                        
                                        
                                        20 avril 1975. 
Ouvrages, L’Abeille et l’Architecte
                                    
 
                            
                        
                        
                        
                                        
                                        Il est ici question de Madame de Sévigné. 
L'Éducation des femmes par les femmes, 1885, Préface
                                    
 
        
     
                             
                             
                            