“Nous avons été introduits ou non à la cuisine, nous avons reçu ou non la permission d'y exercer et d'y exceller ou non. C'est ainsi que nous somme déterminés par notre histoire, tout au moins jusqu'au moment où nous l'identifions et la récusons. Dans la réalité, nous sommes libres! Libres d'être celui que nous avons envie d'être.
Ne pas aimer la cuisine quand c'est ainsi lié à notre passé, c'est maintenir le pouvoir de notre histoire sur nous, permettre à nos parents de continuer de régenter notre existence. Et c'est laisser le petit enfant que nous étions seul avec ses carences et ses blessures. Pourquoi laisser au passé tant de pouvoir sur notre présent? (p. 55)”
Un zeste de conscience dans la cuisine
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La société industrielle et son avenir, 1995

Théologie et technique, 2014

“J'écris non pas pour raconter des histoires, mais pour construire des histoires.”
Discours de réception du prix Nobel de littérature le [7, décembre, 2006]