Les Schizophrènes, 1980, Les paradoxes des schizophrènes
“Je suis persuadé que la vie quotidienne conserve la trace des fantasmes érotiques. Il est évident pour moi que certains font ainsi l'amour imaginairement avec des fétiches; les objets phobiques sont des objets très quotidiens où le fantasme se loge facilement, depuis le cheval du petit Hans jusqu'à cette rue qu'on ne peut traverser. Le sujet s'y fascine lui-même dans une représentation archaïque de soi.”
Réponse de Jean Zurfluh à l'interrogation suivante : Le spectacle intérieur conserve-t-il dans la vie quotidienne la trace des représentations qui s'offrent à vous dans l'acte d'amour ? — Il est clairement question d'une enquête initiée par la revue surréaliste La Brèche en décembre 1964. [Premières réponses à l'enquête sur les représentations érotiques, Jean Zurfluh, La Brèche, 7, Décembre 1964, 101]
Premières réponses à l'enquête sur les représentations érotiques, 1964
Thèmes
amour , vie , question , spectacle , réponse , rue , enquête , acte , objet , conservateur , cheval , sujet , fantasme , revue , représentation , trace , conservation , intérieur , fonte , han , quotidien , traversée , loge , imaginaireJean Zurfluh 2
écrivain français 1927Citations similaires
Réponse de Jean Zurfluh à l'interrogation suivante : Comment [vos représentations érotiques] interfèrent-elles avec la représentation objective que vous avez de votre partenaire ? De vous-même ? De ce qui vous entoure ? — Il est clairement question d'une enquête initiée par la revue surréaliste La Brèche en décembre 1964. [Premières réponses à l'enquête sur les représentations érotiques, Jean Zurfluh, La Brèche, 7, Décembre 1964, 100]
Premières réponses à l'enquête sur les représentations érotiques, 1964

Patience dans l'azur (1981)
Les Schizophrènes, 1980, Schizogrammes

Trajectoires - Autobiographie intellectuelle, 2017