“La beauté (contrairement à la laideur) ne peut vraiment s’expliquer : elle se dit, s’affirme, se répète en chaque partie du corps mais ne se décrit pas.

Telle un dieu (aussi vide que lui), elle ne peut que dire : je suis celle qui suis.

Il ne reste plus alors au discours qu’à asserter la perfection de chaque détail et à renvoyer « le reste » au code qui fonde toute beauté : l’Art.”

“Avantage de la laideur sur la beauté. La beauté finit et la laideur ne finit pas.”

“Les productions d'un monde de l'âme et de l'expression (…) sont toujours laides à force de beauté et belles à force de laideur, c'est la règle. Il s'agit d'une beauté spirituelle, non de la beauté de la chair, qui est absolument stupide (…) La beauté de la chair est abstraite. Il n'y a guère que la beauté intérieure qui ait de la réalité, celle de l'expression religieuse.”

“La différence entre la beauté et la laideur, c'est que la laideur, elle, au moins, elle dure.”

“(…) en lisant Kafka, on peut avoir honte d'oser écrire soi-même. J'ai à nouveau été subjugué par le génie qui émane de chaque phrase, de chaque mot et qui est resté sans pareil.”

“J'en détestais chaque minute. Mais je me suis dit: "Tu souffres maintenant, mais tu seras un champion pour le reste de tes jours."”

“Autrement dit, la beauté ne peut s’alléguer que sous forme d’une citation.”

“L'or même à la laideur donne un teint de beauté :
Mais tout devient affreux avec la pauvreté.”

“Tu n'es pas capable de rester sans péché.
Dieu seul peux te le faire surmonter.
C'est pourquoi la Bible nous dit prions sans cesse… Parce que le corps que nous portions est notre meilleur compagnon et ça nous pousse vers le mal.
Lis ta Bible, prie chaque jours pour demander à Dieu de t'inonder de sa grâce et sa grande miséricorde.”

“Or, comme il y a une infinité d'univers possibles dans les idées de Dieu, et qu'il n'en peut exister qu'un seul, il faut qu'il y ait une raison suffisante du choix de Dieu qui le détermine à l'un plutôt qu'à l'autre. Et cette raison ne peut se trouver que dans la convenance, dans les degrés de perfection que ces mondes contiennent, chaque possible ayant droit de prétendre à l'existence à mesure de la perfection qu'il enveloppe.”