“J'étais devant cent et un critiques à un congrès de critiques, et un critique m'a demandé, « Mlle Cho, n'est-il pas vrai que vos gérants vous ont demandé de perdre du poids pour figurer comme vous-même dans votre propre émission? » Gail [la réalisatrice] m'a pris le micro et a dit, « Il n'y a absolument rien de vrai là-dedans. » J'avais… tellement… faim.”

— Margaret Cho

I stood in front of a hundred and one critics at a critic's convention, ... and a critic asked me, "Miss Cho, isn't it true that your management asked you to lose weight to play the part of yourself in your own TV show?" Gail grabbed the mike from me and said, "There is no truth in that whatsoever." I... was so... hungry.
en
I'm the One that I Want

Adopté de Wikiquote. Dernière mise à jour 4 juin 2021. L'histoire

Thèmes

faim , congrès , prix , figure , critique , poids , demande , émission , dedans , micro , vrai , réalisateur , gérant , devant , pour cent

Margaret Cho 29

actrice américaine 1968

Citations similaires

“Il y avait une figurante qui m'a approchée et m'a dit, « Oh, je te connais! Je t'ai déjà vue. T'es la comique, Margaret Cho! Je ne t'ai pas reconnue immédiatement parce que t'as pris du poids depuis le spectacle! » Et ce n'est pas ça qui m'a fait chier, c'est le fait qu'elle a dit, « T'as pris du [geste de mains] poids! » pour que je sache exactement où je l'avais mis. Et ça m'a fait chier, alors j'en jasais à tout le monde toute la journée. Le lendemain je suis rentrée et le réalisateur adjoint m'est venu pour me dire, « Euh, tu sais, la dame de la veille, n'inquiète-toi pas, on s'en est occupés. » Mais qu'est que vous avez fait?! « Bien, on s'en est occupés. Elle ne reviendra plus. » Et je me suis sentie comme un vrai trou de cul. J'étais saoule de pouvoir comme Orson Welles : « Personne ne me traitera de grosse sur ce plateau! »”

Margaret Cho (1968) actrice américaine

Drunk with Power

“Le libéralisme naissant, à partir du XVIIIe siècle, a donné lieu à une « critique de droite », qui le rappelait à la réalité de la nature humaine, et à une « critique de gauche », qui le condamnait au nom des pauvres et des humiliés. Le drame est que ces deux critiques se sont disjointes – et de façon telle que chacune d'elles, pour triompher de l'autre, a fini par s'allier à ce qui aurait dû rester leur ennemi commun. J'aurai toute ma vie aspiré à ce que ces deux critiques n'en fassent qu'une.”

Alain de Benoist livre Comment peut-on être païen ?

Livres, Comment peut-on être païen ?, 1981, Dernière Année. Notes pour conclure le siècle http://books.google.fr/books?idLI5vx9Mdgb4C&printsecfrontcover&sourcegbs_navlinks_s#vonepage&q&ffalse, 2001