
— Jean d'Ormesson, livre C'est une chose étrange à la fin que le monde
Romans, C'est une chose étrange à la fin que le monde
— Jean d'Ormesson, livre C'est une chose étrange à la fin que le monde
Romans, C'est une chose étrange à la fin que le monde
— Alfred de Vigny romancier, dramaturge et poète français 1797 - 1863
Variante: Quand on voir ce qu'on fut sur terre et ce qu'on lassie/ Seul le silence est grand tout le reste est faiblesse.
— Anne-Thérèse de Marguenat de Courcelles femme de lettres et salonnière française 1647 - 1733
Traité de l’Amitié, 1732
„Il n'y a pas d'amis : il y a des moments d'amitié.“
— Jules Renard écrivain français 1864 - 1910
Journal, 1887-1910
— J. M. Coetzee romancier et professeur en littérature sud-africain 1940
Michael K, sa vie, son temps , 1983
„Il n'y a pas si loin de la haine à l'amitié que de l'antipathie.“
— Jean de La Bruyère, livre Les Caractères
Les Caractères, 1696
„Un voyage de mille lieux a commencé par un pas.“
— Lao Tseu philosophe chinois, fondateur du taoïsme -604
„La mère de famille n'a pas de temps pour voyager. Mais elle a du temps pour mourir.“
— Mariama Bâ écrivaine sénégalaise 1929 - 1981
, 1979
— René Girard anthropologue et philosophe français 1923 - 2015
Shakespeare. Les feux de l’envie, 1990
„Car l'amitié est un amour mutuel, & s'il n'est mutuel, ce n'est pas amitié.“
— François de Sales, livre Introduction à la vie dévote
Introduction to the Devout Life (1609)
— Gilbert Sinoué écrivain français 1947
El Libro De La Sabiduria De Oriente/ The Book of the Oriental Wisdom
„Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage“
— Joachim du Bellay, livre Les Regrets
Les Regrets
„(…) la guerre est restée pour moi (…) la plus tendre expérience humaine que jai vécue.“
— Henry de Montherlant romancier, essayiste, auteur dramatique et académicien français 1895 - 1972
Un Assassin est mon maître, 1971
— Louis Antoine de Saint-Just homme politique français 1767 - 1794
Discours, Rapport au nom du Comité de salut public et du Comité de sûreté générale sur les personnes incarcérées, présenté à la Convention nationale le 8 ventôse an II (26 février 1794)