
“L’aveu des fautes ne coûte guère à ceux qui sentent en eux de quoi les réparer.”
Avis d’une mère à son fils, 1726
Arrangement de la citation originelle : [Quand on s’est mépris, il faut réparer sa faute le plutôt possible, et que nulle considération en empêche, pas même la bonté.]
Mémoires pour l’instruction du Dauphin, Volume 2
“L’aveu des fautes ne coûte guère à ceux qui sentent en eux de quoi les réparer.”
Avis d’une mère à son fils, 1726
“Il faut bien plus d’esprit pour plaire avec de la bonté qu’avec de la malice.”
Lettre à Madame la Supérieure de la Magdeleine de Tresnel, sur l’Éducation d’une jeune Demoiselle. (vers 1715)
Correspondance
Ouvrages, L'Argent (1928)
À propos de ce que l'auteur qualifie de « terrorisme intellectuel » ou de pensée unique « progressiste ».
Essais, Les Contre-réactionnaires, 2007