“Les Africains, indépendants depuis soixante ans, ont méthodiquement chassé les Européens d’Algérie, de Guinée, de Côte-d’Ivoire, d’Afrique du Sud et de bien d’autres lieux ; ils doivent assumer et s’assumer. Nous n’avons plus aucun devoir à leur endroit. Et sûrement pas celui de les laisser nous envahir. L’Afrique aux Africains, bien sûr, mais aussi l’Europe aux Européens.”

Européen d'abord, 2018

Adopté de Wikiquote. Dernière mise à jour 22 mai 2020. L'histoire
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homme politique, essayiste et haut fonctionnaire français 1948

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“J'ai été militant de l'ANC de Mandela depuis la fin des années soixante, le début des années soixante-dix. J'ai été approché par Hassan II, le roi du Maroc, pour aider au financement de l'ANC. […] Je me souviens qu'à l'époque, le président sud-africain, qui devait être Vorster, exerçait d'énormes pressions auprès de nos ministres pour qu'ils viennent en Afrique du sud. Un certain nombre de ministres français ont accepté ces invitations. Moi aussi, j'ai été très sollicité… Les dirigeants de l'Afrique du Sud voulaient nous faire croire que l'apartheid était normal, ou n'existait pas. J'ai déclaré officiellement, et de la manière la plus claire, urbi et orbi que je n'y mettrais pas les pieds tant que l'apartheid existerait.”

Jacques Chirac (1932–2019) 5e président de la cinquième République Française

Apartheid
Variante: J'ai été militant de l'ANC de Mandela depuis la fin des années soixante, le début des années soixante-dix. J'ai été approché par Hassan II, le roi du Maroc, pour aider au financement de l'ANC. [...] Je me souviens qu'à l'époque, le président sud-africain, que devait être Vorster, exerçait d'énormes pressions auprès de nos ministres pour qu'ils viennent en Afrique du sud. Un certain nombre de ministres français ont accepté ces invitations. Moi aussi, j'ai été très sollicité... Les dirigeants de l'Afrique du Sud voulaient nous faire croire que l'apartheid était normal, ou n'existait pas. J'ai déclaré officiellement, et de la manière la plus claire, urbi et orbi que je n'y mettrais pas les pieds tant que l'apartheid existerait.

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“On constate un apport de sang négroïde depuis les temps les plus anciens dans toute la région méditerranéenne (des nègres dans l'armée de César, des esclaves noirs) et surtout dans les villes portuaires depuis les Croisades. Dans les grandes villes, les domestiques nègres étaient - et le sont toujours - à la mode. Les mariages avec les Européens du sud apportèrent un sang négroïde en Europe centrale; souvent, chez les terrassiers italiens surtout, on pouvait plus ou moins constater l'apport de sang négroïde. Venant des colonies françaises, le sang négroïde afflua vers la France. Au Portugal, en raison de l'introduction qui s'est faite autrefois d'esclaves africains, l'influence négroïde est même particulièrement apparente. De nos jours, c'est avant tout la politique de la France qui représente pour le monde entier une augmentation du « danger noir », en donnant aux Nègres, par octroi de la nationalité et de l'élévation au rang d'officier, l'accès à un pouvoir dont les conséquences sont encore imprévisibles. […] La domination de la France représente pour l'Allemagne « l'ignominie noire », à savoir les agressions de femmes européennes par les Africains dans les territoires occupés dont les conséquences, elles aussi, sont encore imprévisibles. […] L'influence négroïde en France, surtout dans le sud de ce pays ou les Africains du Nord arrivent en masse - et sans femmes - est depuis plusieurs années en augmentation croissante. Il paraît qu'une ville comme Marseille, n'a plus un aspect « européen », tellement le métissage par le sang africain s'y fait sentir.”

Hans Günther (1891–1968) anthropologue
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