Cette traduction est en attente de révision. Est-ce correct?

Connectez-vous pour passer en revue

“Je veux que la fièvre s’empare de moi éternellement
Je veux que tu sois
Ma fièvre.”

Original

I want the fever to grab me forever and want you to be my fever

<span class="plainlinks"> Fever http://www.globalpoetry.org/blog/2015/04/01/fever/</span>
From Poetry

Dernière mise à jour 3 août 2020. L'histoire
Thèmes
fièvre
Suman Pokhrel photo
Suman Pokhrel 1
poète, parolier, traducteur et artiste 1967

Citations similaires

Voltaire photo

“Le fanatisme est à la superstition ce que le transport est à la fièvre, ce que la rage est à la colère.”

Voltaire (1694–1778) écrivain et philosophe français

Essais

“La fièvre fit plus d'animaux que les ovaires n'en firent jamais.”

Henri Michaux (1899–1984) poète et peintre français

Plume précédé de Lointain intérieur

Stanley G. Weinbaum photo

“La jeunesse est une fièvre trop forte pour être supportée si longtemps.”

Stanley G. Weinbaum (1902–1935) écrivain américain de science-fiction

, 1939

Émile Zola photo

“Je n'ai guère de souci de beauté ni de perfection… Je n'ai souci que de vie, de lutte, de fièvre.”

Émile Zola (1840–1902) romancier, auteur dramatique, critique artistique et littéraire et journaliste français
Patrice de Mac Mahon photo

“La fièvre typhoïde est une maladie terrible : ou on en meurt, ou on en reste idiot. J'en sais quelque chose : je l'ai eue.”

Patrice de Mac Mahon (1808–1893) 2e président de la Troisième République française

Les plus anciennes occurrences de la citation ne donnent pas d'attribution. Par exemple, dans la Revue spirite, en 1887 https://books.google.fr/books?id=wb4aAQAAMAAJ&q=%22On+en+meurt+ou+on+reste+idiot%22 : « On connaît ce dit mémorable ». Puis dans La Médecine nouvelle du 12 mars 1892 http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5521343v/f2.image.r=%22La%20fi%C3%A8vre%20typho%C3%AFde%20est%20une%20maladie%20terrible%22, ce commentaire : « Cette phrase attribuée à bien des personnages, n'est pas aussi grotesque qu'on pourrait le croire. Sauf le dernier membre que les farceurs y ont ajouté, le premier est malheureusement trop souvent vrai. » Le Journal du 25 juillet 1923 http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7608581h/f1.item.r=%22ou%20on%20en%20reste%20idiot%22.zoom l'attribue à Mac Mahon mais indique entre parenthèses et en italique : « apocryphes ». Dans La Revue de Paris de septembre 1936 http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k176862/f581.image.r=%22ou%20on%20en%20reste%20idiot%22 (ce texte sera repris l'année suivante dans La République des Ducs publié chez Grasset), l'historien Daniel Halévy donne ce commentaire : « On lui prêtait des mots simples qui faisaient rire. [...] Tout cela, indéfiniment répété, mettait en joie un peuple irrespectueux. »
Apocryphes

Thomas Mann photo
Nadine Ribault photo

“Je suis pour un roman lyrique où l’on sente fièvre et ardeur, empêchement et lutte, individualité d’un seul contre pratiquement tous.”

Nadine Ribault (1964) écrivaine française

Carnets, Carnets des Cévennes – Les clochers de tourmente, Point d’Appui 1, 2012

Émile Zola photo
Molière photo

Avec