“Je peux exécrer ce shah, mais ce n'est pas contre lui que je me bats. Triompher d'un despote ne peut être le but ultime, je me bats pour que les Persans aient conscience d'être des hommes libres, des fils d'Adam, comme nous disons ici, qu'ils aient foi en eux-mêmes, en leur force, qu'ils retrouvent une place dans le monde d'aujourd'hui. C'est ce que j'ai voulu réussir ici. Cette ville a rejeté la tutelle du monarque et des chefs religieux, elle a défié les Puissances, partout elle a suscité la solidarité et l'admiration des hommes de coeur. Les gens de Tabriz étaient sur le point de gagner, mais on ne veut pas les laisser gagner, on a trop peur de leur exemple, on veut les humilier, cette population fière devra se prosterner devant les soldats du tsar pour obtenir son pain. Toi qui es né libre dans un pays libre, tu devrais comprendre.”
Samarkand
Thèmes
contrée , monarque , solidarité , rejet , despote , peu , persan , tutelle , humiliation , devant , religieux , coeur , admirationAmin Maalouf 86
écrivain franco-libanais 1949Citations similaires

Discours, Deuxième discours sur la guerre, [2, janvier, 1792]

“Je me bats à coups de plume contre le poids des silences maudits.”
Rompre le charme (2012)

Aut si ad hoc adjutorium gignendi filios, non est facta mulier viro, ad quod ergo adjutorium facta est? Si quæ simul operaretur terram; nondum erat labor ut adjumento indigeret, et si opus esset, melius adjutorium masculus fieret: hoc et de solatio dici potest, si solitudinis fortasse tædebat. Quanto enim congruentius ad convivendum et colloquendum duo amici pariter quam vir et mulier habitarent? Quod si oportebat alium jubendo, alium obsequendo pariter vivere, ne contrariæ voluntates pacem cohabitantium perturbarent; nec ad hoc retinendum ordo defuisset, quo prior unus, alter posterior, maxime si posterior ex priore crearetur, sicut femina creata est. An aliquis dixerit de costa hominis Deum feminam tantum, non etiam masculum, si hoc vellet, facere potuisse? Quapropter non invenio ad quod adjutorium facta sit mulier viro, si pariendi causa subtrahitur.
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Citations de saint Augustin, La genèse au sens littéral