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« L’amour est soif au bord d’un puits,
L’amour est fleur et non pas fruit »”

“Jésus est Dieu : donc son amour, sa soif, sont infinis. Notre but est d’étancher cette soif infinie d’un Dieu fait homme. Les sœurs … ne cessent, par leur amour et l’amour des âmes qu’elles amènent à lui, de désaltérer le Dieu assoiffé.”

“Lorsque le monde se mettra à jeter des fleurs et non plus des bombes, le combat de l’amour sera gagné.”

“De même que l'horreur est la mesure de l'amour, la soif du mal est la mesure du bien.”

“Ce n'est pas parce que l'homme a soif d'amour qu'il doit se jeter sur la première gourde.”

“Faire l'amour équivaut à boire un verre d'eau quand on a soif. Ce n'est qu'un besoin physique.”

“Ariane, ma sœur, de quel amour blessée,Vous mourûtes aux bords où vous fûtes laissée.”

“Antonio : Boire sans soif et faire l'amour en tout temps, madame, il n'y a que ça qui nous distingue des autres bêtes.”

“Dans les nouvelles ou romans qui ont des sujets italiens, il a mieux réussi ces amours passionnées qui n'existent plus, selon lui, en 1838 et qu'on trouverait fort ridicules si on les rencontrait; ces amours qui se nourrissent de grands sacrifices, ne peuvent subsister qu'environnés de mystère et se trouvent toujours voisins de plus affreux malheurs. Beyle cherche ainsi dans le roman une pièce à l'appui de son ancienne et constante théorie qui lui avait fait dire : L'amour est une fleur délicieuse, mais il faut avoir le courage d'aller la cueillir sur les bords d'un précipice affreux.”

“Les amours des hommes sont de grandes glaces paysannes bordées de velours rouge ou, plus rarement, de velours bleu.”