Napoléon Bonaparte citations

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“Soldats, […] songez que du haut de ces monuments quarante siècles vous contemplent.”

“J'aime mieux la religion de Mahomet. Elle est moins ridicule que la nôtre.”

“Puis enfin, à un certain moment de l’histoire, apparut un homme appelé “Mohamed”. Et cet homme a dit la même chose que Moïse, Jésus, et tous les autres prophètes : il n’y a qu’Un Dieu. C’était le message de l’Islam. L’Islam est la vraie religion.”

“Puis vint Jésus. Jésus a souligné une belle vérité sur Dieu. Il a dit que Dieu est Unique et que vous devez l’aimer de tout votre cœur, et aimer votre voisin comme vous même.
Mais, après la mort de Jésus, un groupe de politiciens de Rome a vu dans cette religion, une possibilité de contrôler une masse importante de gens. Ils ont donc élevé Jésus au rang de Dieu, et partie de Dieu Lui-même. Ils ont ensuite donné à Dieu des partenaires. Ils étaient maintenant trois en un.”

“La religion de Mahomet est la plus belle.”

“Toutes les religions, depuis Jupiter, prêchent la morale. Je croirais à une religion si elle existait depuis le commencement du monde; mais quand je vois Socrate, Platon, Moïse, Mahomet, je n'y crois plus. Tout cela a été enfanté par les hommes.”

“La religion chrétienne est celle d'un peuple très civilisé. Elle a élevé l'homme; elle proclame la supériorité de l'esprit sur la matière, de l'âme sur le corps; elle est née dans les écoles grecques; elle est le triomphe des Socrate, des Platon, des Aristide, sur les Flaminius, les Scipion, les Paul-Emile.”

“Les hommes de génie sont des météores destinés à brûler pour éclairer leur siècle.”

“Le général Kleber me rend compte de votre conduite et j'en suis satisfait. (…) J'espère que le moment ne tardera pas où je pourrai réunir tous les hommes sages et instruits du pays, et établir un régime uniforme, fondé sur les principes de l'Al-coran, qui sont les seuls vrais et qui peuvent seuls faire le bonheur des hommes.”

“Mahomet fut un grand homme, intrépide soldat: avec une poignée de monde il triompha au combat de Bender (Badr); grand capitaine, éloquent, grand homme d'état, il régénéra sa patrie, et créa au milieu des déserts de l'Arabie un nouveau peuple et une nouvelle puissance.”

“Une société sans religion est comme un vaisseau sans boussole”

“Qui peut tout dire, arrive à tout faire!”

“C'est à ma mère que je dois toute ma fortune et tout ce que j'ai fait de bien.”

“Souvenez-vous bien de ce que je vous dis : le destin de votre règne dépend de votre conduite à votre retour dans la Calabre. Ne pardonnez pas. Faites passer par les armes au moins 600 des révoltés. Ils m'ont égorgé un plus grand nombre de soldats. Faites brûler les maisons de trente des principaux des chefs de villages, et distribuez leurs propriétés à farmée. Désarmez tous les habitants et faites piller cinq ou six gros villages de ceux qui se sont le plus mal comportés... Privez de leurs biens communaux les villages révoltés, et donnez ces biens à l'armée. Surtout désarmez avec rigueur. Puisque vous comparez les Napolitains aux Corses, souvenez-vous que, lorsqu'on entra dans le Niolo, quarante rebelles furent pendus aux arbres, et que la terreur fut telle que personne ne remua plus. Plaisance s'était insurgée; à mon retour de la Grande Armée, j'y envoyai Junot, qui prétendait que le pays ne s'était pas insurgé et m'envoyait de l'esprit à la française : je lui ai envoyé l'ordre de faire brûler deux villages et de faire fusiller les chefs de la révolte, parmi lesquels étaient six prêtres. Cela fut fait et le pays fut soumis, et le sera pour longtemps.”

“En amour, la seule victoire, c'est la fuite.”

“Moïse a reçu de Dieu, un message pour guider les hébreux sur le droit chemin. Mais conséquemment, ces derniers ont gardé pour eux-seuls les merveilleux enseignements de Moïse. Ils ont détourné ce message pour le confiner à « une race d’élus de Dieu », au lieu d’en faire profiter le monde.”

“Sa demeure à Coppet était devenue un véritable arsenal contre moi; on venait s’y faire armer chevalier. Elle s’occupait à me susciter des ennemis, et me combattait elle-même. C’était tout à la fois Armide et Clorinde”

“En guerre comme en amour, pour en finir, il faut se voir de près.”

“Voilà le soleil d'Austerlitz!”

“Le cœur d’un homme d’État doit être dans sa tête. ”

“Le mot impossible n'est pas français.”

“Messieurs, nous avons un maître, ce jeune homme fait tout, peut tout, et veut tout.”

“J'aurais dû mourir à Waterloo”

“A dîner, il nous disait qu'il se trouvait beaucoup mieux, et nous lui avons fait observer, à ce sujet, que, depuis quelque temps néanmoins, il ne sortait plus, et travaillat huit, dix, douze heures par jour.
«C'est cela même,» disait-il: «le travail est mon élément; je suis né et construit pour le travail. J'ai connu les limites de mes jambes, j'ai connu les limites de mes yeux; je n'ai jamais pu connaître celles de mon travail.»”

“Depuis le premier jour jusqu'au dernier, il est le même, toujours le même, majestueux et simple , infiniment sévère et infiniment doux ; dans un commerce de vie pour ainsi dire public, Jésus ne donne jamais de prise à la moindre critique; sa conduite si prudente ravit l'admiration par un mélange de force et de douceur.”

“Qu'est ce que l'histoire, sinon une fable sur laquelle tout le monde est d'accord. ”

“Le meilleur moyen de tenir sa parole est de nejamais la donner. ”

“Du sublime au ridicule il n`y a qu`un pas.”

“There is nothing so imperious as feebleness which feels itself supported by force.”

“A Government protected by foreigners will never be accepted by a free people.”

“Sentiment de Napoléon sur la divinité de Jésus-Christ (1841), p. 59. Translated: "From first day to the last, he is the same, always the same, majestic and simple, extremely severe and extremely mild in the business of public life, so to speak, Jesus does not hold to any criticism, his prudent manner so delighted admiration by a mixture of strength and gentleness."”

“A form of government that is not the result of a long sequence of shared experiences, efforts, and endeavors can never take root.”

“Unhappy the general who comes on the field of battle with a system.”

“In civil war it is not given to every man to know how to conduct himself. There is something more than military prudence necessary; there is need of sagacity and the knowledge of men.”

“Europe has its history, often tragic, though at intervals consoling. But to speak of any universally recognized national rights or that these rights have played any part in its history, is to play with the powers of public credulity. Always the first duty of a state has been its safety; the pledge of its safety, its power; and the limits of its power, that intelligence of which each has been made the depository. When the great powers have proclaimed any other principle, it has been only for their own purposes, and the smaller powers have never received any benefit from it.”

“Never interrupt your enemy when he is making a mistake.”

“The truth is that one ought to serve his people worthily, and not strive solely to please them. The best way to gain a people is to do that which is best for them. Nothing is more dangerous than to flatter a people. If it does not get what it wants immediately, it is irritated and thinks that promises have not been kept; and if then it is resisted, it hates so much the more as it feels itself deceived.”

“A commander in chief ought to say to himself several times a day: If the enemy should appear on my front, on my right, on my left, what would I do? And if the question finds him uncertain, he is not well placed, he is not as he should be, and he should remedy it.”

“What are the conditions that make for the superiority of an army? Its internal organization, military habits in officers and men, the confidence of each in themselves; that is to say, bravery, patience, and all that is contained in the idea of moral means.”

“War is a serious game in which a man risks his reputation, his troops, and his country. A sensible man will search himself to know whether or not he is fitted for the trade.”

“Imagination governs the world.”

“My maxim was, la carrière est ouverte aux talents, without distinction of birth or fortune.”

“I don't know why, but the little bastard scares me.”

“Women are nothing but machines for producing children.”

“Charity and alms are recommended in every chapter of the Koran as being the most acceptable services, both to God and the Prophet.”

“What then is, generally speaking, the truth of history? A fable agreed upon.”

“The existence of God is attested by everything that appeals to our imagination. And if our eye cannot reach Him it is because He has not permitted our intelligence to go so far.”

“A book in which there were no lies would be a curiosity.”

“Kiss the feet of Popes provided their hands are tied.”

“France is invaded; I am leaving to take command of my troops, and, with God's help and their valor, I hope soon to drive the enemy beyond the frontier.”

“He was the God of War.”

“On s'engage, et puis… on voit. ”

“All religions have been made by men.”

“The Emperor is mad, completely mad, and will destroy us all; this will all end in some horrible crash.”

“There is no subordination with empty stomachs.”

“Hand weapons were the main weapons of the ancients; it is with his short sword that the legionary conquered the world. It is with the Macedonian lance that Alexander conquered Asia.”

“Napoleon, far more Italian than French, Italian by race, by instinct, imagination, and souvenir, considers in his plan the future of Italy, and, on casting up the final accounts of his reign, we find that the net profit is for Italy and the net loss is for France. Since Theodoric and the Lombard kings, the Pope, in preserving his temporal sovereignty and spiritual omnipotence, has maintained the sub-divisions of Italy; let this obstacle be removed and Italy will once more become a nation. Napoleon prepares the way, and constitutes it beforehand by restoring the Pope to his primitive condition, by withdrawing from him his temporal sovereignty and limiting his spiritual omnipotence, by reducing him to the position of managing director of Catholic consciences and head minister of the principal cult authorized in the empire.”