George II de Grande-Bretagne citations

George II fut roi de Grande-Bretagne, duc de Brunswick-Lunebourg et prince-électeur du Saint-Empire romain germanique du 22 juin 1727 à sa mort.

George II fut le dernier monarque britannique né hors de Grande-Bretagne puisqu'il était né et avait grandi dans le Hanovre. En 1701, sa grand-mère, Sophie de Hanovre, devint la seconde dans l'ordre de succession au trône britannique après l'exclusion d'environ 50 héritiers catholiques du fait de l'Acte d'établissement de 1701 qui réservait la succession aux protestants. Après les morts de Sophie et d'Anne de Grande-Bretagne, son père George Ier, électeur de Hanovre, accéda au trône. Dans les premières années du règne de son père, George était associé aux politiciens de l'opposition jusqu'à ce qu'ils rejoignent le parti au pouvoir en 1720.

Devenu roi en 1727, George II influa peu sur la politique intérieure du pays qui était largement contrôlée par le Parlement de Grande-Bretagne. En tant qu'électeur, il passa douze étés au Hanovre où il disposait d'un plus grand contrôle sur la politique gouvernementale. Durant la guerre de Succession d'Autriche, George participa à la bataille de Dettingen en 1743 devenant ainsi le dernier monarque britannique à mener une armée au combat. En 1745, les partisans du prétendant catholique au trône, Jacques François Stuart, tentèrent de le renverser lors de la dernière révolte jacobite. George II avait des relations difficiles avec son fils aîné, Frédéric, qui soutenait l'opposition parlementaire. Frédéric mourut soudainement en 1751 et c'est le fils de ce dernier qui devint l'héritier au trône, puis finalement roi en 1760 sous le nom de George III.

Jusqu'au milieu du XXe siècle, les études historiques considéraient George II avec dédain du fait de ses maîtresses, de son impatience et de sa muflerie. Depuis lors, certains historiens ont ré-évalué son héritage et concluent qu'il avait eu une certaine influence dans la politique étrangère et les nominations militaires. Wikipedia  

✵ 30. octobre 1683 – 25. octobre 1760
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George II de Grande-Bretagne Citations

George II de Grande-Bretagne: Citations en anglais

“I hate bainting, and boetry too! Neither the one nor the other ever did any good.”

John Ireland Hogarth Illustrated (1791); cited from John Ireland and John Nichols Hogarth's Works (1883) p. 122.
Later sources usually quote this as "I hate all bainters and boets!", or as "Damn the bainters and the boets too!" The saying is often misattributed to George I.

“If he is mad, so much the better; and if he is mad, I hope to God he’ll bite some of my generals.”

The New-York Magazine (November 1791) p. 662.
On being warned by the Duke of Newcastle, in 1758, against promoting James Wolfe. Often quoted as "Mad, is he? Then I hope he will bite some of my other generals."

“No, I'll have mistresses.”

Non, j'aurai des maîtresses.
William M. White Emmanuel Swedenborg ([1856] 1867) vol. 2, p. 308.
Tearfully answering his wife, Queen Caroline, who as she lay dying had urged him to marry again.

“There are kings enough in England. I am nothing there. I am old and want rest and should only go to be plagued and teased there about that Damned House of Commons.”

Statement made in Hanover (1755), quoted in Isaac Kramnick, Bolingbroke and His Circle: The Politics of Nostalgia in the Age of Walpole (Cornell University Press, 2018), pp. 113–114