“I do not paint by copying nature. Everything I do springs from my wild imagination.”
Source: 1890s - 1910s, The Writings of a Savage (1996), p. 22: quote in a letter to Ambroise Vollard, 1900
“I do not paint by copying nature. Everything I do springs from my wild imagination.”
Source: 1890s - 1910s, The Writings of a Savage (1996), p. 22: quote in a letter to Ambroise Vollard, 1900
Source: 1870s - 1880s, The Writings of a Savage (1996), p. 24: quote in his letter to Vincent van Gogh, c. 1888
Source: 1870s - 1880s, The Writings of a Savage (1996), p. 109: in a letter to a friend, c. 1886
Comment voyez-vous cet arbre? Il est bien vert? Mettez donc du vert, le plus beau vert de votre palette; — et cette ombre, plutôt bleue? Ne craignez pas la peindre aussi bleue que possible.
Quote from a conversation in 1888, Pont-Aven, with Paul Sérusier as cited by w:Maurice Denis, inL'influence de Paul Gauguin, in Occident (October 1903) and published in Du symbolisme au classicisme. Théories (1912), ed. Olivier Revault d'Allonnes (Paris, 1964), p. 51.
1870s - 1880s
Source: 1890s - 1910s, The Writings of a Savage (1996), p. 130: quote in 1898
La peinture est le plus beau de tous les arts; en lui se résument toutes les sensations, à son aspect chacun peut, au gré de son imagination, créer le roman, d'un seul coup d'œil avoir l'âme envahie par les plus profonds souvenirs; point d'effort de mémoire, tout résumé en un seul instant. — Art complet qui résume tous les autres et les complète. — Comme la musique, il agit sur l'âme par l'intermédiaire des sens, les tons harmonieux correspondant aux harmonies des sons; mais en peinture on obtient une unité impossible en musique où les accords viennent les uns après les autres, et le jugement éprouve alors une fatigue incessante s'il veut réunir la fin au commencement. En somme, l'oreille est un sens inférieur à celui de l'œil. L'ouïe ne peut servir qu'à un seul son à la fois, tandis que la vue embrasse tout, en même temps qu'à son gré elle simplifie.
Quote of Gauguin from: Notes Synthéthiques (ca. 1884-1885), ed. Henri Mahaut, in Vers et prose (July-September 1910), p. 52; translation from John Rewald, Gauguin (Hyperion Press, 1938), p. 161.
1870s - 1880s
Quote from Gauguin's unfinished essay 'Notes Synthetiques', published in the July / September 1910 issue of ' Vers et Prose' XXII, pp. 51-55, as cited in: Shannon N. Pritchard, Gino Severini and the symbolist aesthetics of his futurist dance imagery, 1910-1915 https://getd.libs.uga.edu/pdfs/pritchard_shannon_n_200305_ma.pdf Diss. uga, 2003, p. 23
Gauguin's essay 'Notes Synthetiques' was written in Pont -Aven in 1888 and left incomplete. His essay was first published in 'Vers et Prose' XXII
1890s - 1910s
late quote about the start of his famous large painting 'Where do we come from? What are we? Where are we going'
Source: 1890s - 1910s, The Writings of a Savage (1996), pp. 159-160: in a letter from Tahiti to a friend, 1898
Source: 1890s - 1910s, The Writings of a Savage (1996), p. 205: in a letter to Ambroise Vollard, January 1900
1870s - 1880s, The Writings of a Savage (1996)
Original: Votre œil bleu du nord regardait attentivement les tableaux pendus aux murs. J’eus comme le pressentiment d’une révolte : tout un choc entre votre civilisation et ma barbarie. Civilisation dont vous souffrez. Barbarie qui est pour moi un rajeunissement.
Source: 1890s - 1910s, The Writings of a Savage (1996), p. 105: quote from his letter to August Strindberg (5 May 1895)