
“Le parc, à cette heure, étendait ses mains blondes au-dessus de la fontaine magique.”
Poisson soluble, 1924
Les Aventures du Roi Pausole, 1900
“Le parc, à cette heure, étendait ses mains blondes au-dessus de la fontaine magique.”
Poisson soluble, 1924
“Un énorme éléphant n’a pas toujours d’énormes défenses.”
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
Pénalités de l'enfer, Robert Desnos, Littérature Nouvelle Série, 4, Septembre 1922, 8
Pénalités de l'enfer, 1922
A quelque amant néronien caché sous le felze, Venise offrira dans une heure le spectacle d’une ville délirante qui s’incendie.
Stelio sourit en remarquant à quel point ses familiers s’étaient imprégnés de son essence et combien profondément le sceau de son style s’était imprimé sur leurs esprits. Subitement s’offrit à son désir l’image de la Foscarina empoisonnée par l’art, chargée d’expérience voluptueuse, ayant le goût de la maturité et de la corruption dans sa bouche éloquente, ayant l’aridité de la vaine fièvre dans ses mains qui avaient exprimé le suc des fruits fallacieux, gardant les vestiges de cent masques sur ce visage qui avait simulé la fureur des passions mortelles. C’était ainsi que se la représentait son désir ; et il palpitait à la pensée que, tout à l’heure, il la verrait émerger de la foule comme de l’élément dont elle était l’esclave, et qu’il puiserait dans le regard de cette femme l’ivresse nécessaire.
Romans, Le Feu, 1900
La Culotte en jersey de soi, Renée Dunan, Le Cercle Poche, 2011, 1923, 17, 978-2-84714-152-8
La Culotte en jersey de soi, 1923
“La feuille morte protège et cache le bourgeon de la feuille nouvelle.”
Le Testament de Corlay, 1982