“Chaque période historique reflète le visage du dernier vainqueur.”

—  Franz Werfel

L'étoile de ceux qui ne sont pas nés , 1945

Adopté de Wikiquote. Dernière mise à jour 21 mai 2020. L'histoire
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Franz Werfel 72
écrivain autrichien 1890–1945

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“Chaque pays porte une sorte de prédestination historique, qui en marque presque définitivement les traits.”

Jean Baudrillard (1929–2007) philosophe et sociologue français

Amérique, 1997

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“Nul vainqueur ne croit au hasard.”

Friedrich Nietzsche (1844–1900) philologue, philosophe et poète allemand

, 1882

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“Cette victoire… Les vaincus l'avaient à cœur et les vainqueurs l'avaient dans le cul!”

Pierre Desproges (1939–1988) humoriste français

Les réquisitoires du tribunal des flagrants délires

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“Qui punit le vaincu ne craint point le vainqueur.”

La Mort de Pompée (The Death of Pompey) (1642)

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“Or, toute religion n'est que le reflet fantastique, dans le cerveau des hommes, des puissances extérieures qui dominent leur existence quotidienne, reflet dans lequel les puissances terrestres prennent la forme de puissances supra-terrestres. Dans les débuts de l'histoire, ce sont d'abord les puissances de la nature qui sont sujettes à ce reflet et qui dans la suite du développement passent, chez les différents peuples, par les personnifications les plus diverses et les plus variées. […] Mais bientôt, à côté des puissances naturelles, entrent en action aussi des puissances sociales, puissances qui se dressent en face des hommes, tout aussi étrangères et au début, tout aussi inexplicables, et les dominent avec la même apparence de nécessité naturelle que les forces de la nature elles-mêmes. Les personnages fantastiques dans lesquels ne se reflétaient au début que les forces mystérieuses de la nature reçoivent par là des attributs sociaux, deviennent les représentants de puissances historiques. A un stade plus avancé encore de l'évolution, l'ensemble des attributs naturels et sociaux des dieux nombreux est reporté sur un seul dieu tout-puissant, qui n'est lui-même à son tour que le reflet de l'homme abstrait. C'est ainsi qu'est né le monothéisme, qui fut dans l'histoire le dernier produit de la philosophie grecque vulgaire à son déclin et trouva son incarnation toute prête dans le Dieu national exclusif des Juifs, Yahvé.”

Anti-Dühring, 1878

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