“Sur la Seine, les trombes d'eau montaient aussi haut que les tours : je suis perdu dans le labyrinthe d'une écluse et d'un pont.”

« Le coq et la perle », extrait.
Le Cornet à dés (1945)

Adopté de Wikiquote. Dernière mise à jour 21 mai 2020. L'histoire
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poète, romancier, essayiste, épistolier et peintre français 1876–1944

Citations similaires

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“La Seine charriait des nappes grumeleuses qui s’arrêtaient aux piles des ponts et se dissolvaient en firmaments.”

Robert Desnos (1900–1945) poète français

La Liberté ou l'Amour !, 1927

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“Les mecs ils passent tous les jours sur le pont de l'Alma… y'aurait pas d'eau dessous… ils passeraient quand même!”

Coluche (1944–1986) humoriste et comédien français

Music-hall, L'ancien combattant, C'est l'histoire d'un mec...

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“Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu'il m'en souvienne
La joie venait toujours après la peine

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
des éternels regards l'onde si lasse

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

l'amour s'en va comme cette eau courante
L'amour s'en va
Comme la vie est lente
Et comme l'Espérance est violente

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure”

Alcools
Variante: Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu'il m'en souvienne
La joie venait toujours après la peine
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l'onde si lasse

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

L'amour s'en va comme cette eau courante
L'amour s'en va
Comme la vie est lente
Et comme l'Espérance est violente

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

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“Être vivant au sein de la mort. Être debout où l'air et l'eau sont un même rythme couché.”

Edmond Jabès (1912–1991) écrivain et poète français

Le Retour au Livre, 1965

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