“Ce que l'homme a uni, la nature est impuissante à le séparer.”

Le Meilleur des mondes, 1932

Adopté de Wikiquote. Dernière mise à jour 21 mai 2020. L'histoire
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nature , hommes , homme , unix
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Aldous Huxley 43
Romancier et essayiste britannique 1894–1963

Citations similaires

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“Il n’y a pas une Amérique progressiste et une Amérique conservatrice — il y a les États-Unis d’Amérique. Il n’y a pas une Amérique noire, une Amérique blanche, une Amérique latino et une Amérique asiatique, il y a les États-Unis d’Amérique.”

Barack Obama (1961) 44e président des États-Unis

There is not a liberal America and a conservative America — there is the United States of America. There is not a Black America and a White America and Latino America and Asian America — there’s the United States of America.
en
Discours du 27 juillet 2004 à Boston, lors de la convention démocrate.
Discours au congrès démocrate de 2004

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“Si l'homme n'avait pas été son propre classificateur, il n'eût jamais songé à fonder un ordre séparé pour s'y placer.”

Charles Darwin (1809–1882) naturaliste anglais

Note de Darwin en 1871
Propos rapportés

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“Aux États-Unis, plus il y a de plein emploi, plus il y a de délinquance.”

Éric Ciotti (1965) personnalité politique française

Selon Ciotti, le plein emploi augmente la délinquance car il y a plus d'argent en circulation.
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“La nature a souvent de ces tranquillités ou de ces indifférences qui font honte aux agitations des hommes.”

Érik Orsenna (1947) écrivain français

L'avenir de l'eau, 2008

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“Nature a, (ce crains-je) elle mesme attaché à l'homme quelque instinct à l'inhumanité”

Michel de Montaigne (1533–1592) écrivain français, philosophe, humaniste, qui fut maire de Bordeaux

The Complete Essays

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“Ce que nous appelons la terre est un élément de la nature qui est inextricablement entrelacé avec les institutions de l'homme. La plus étrange de toutes les entreprises de nos ancêtres a peut-être été de l'isoler et d'en former un marché. Traditionnellement, la main-d'œuvre et la terre ne sont pas séparées; la main-d'œuvre fait partie de la vie, la terre demeure une partie de la nature, la vie et la nature forment un tout qui s'articule. La terre est ainsi liée aux organisations fondées sur la famille, le voisinage, le métier et la croyance -- avec la tribu et le temple, le village, la guilde et l'église. Le Grand Marché unique, d'autre part, est un dispositif de la vie économique qui comprend des marchés pour des facteurs de production. Puisque ces facteurs se trouvent être indiscernables des éléments qui constituent les relations humaines, l'homme et la nature, il est facile de voir que l'économie de marché implique une société dont les institutions sont subordonnées aux exigences du mécanisme du marché. Cette proposition est utopique aussi bien en ce qui concerne la terre qu'en ce qui concerne la main-d'œuvre. La fonction économique n'est que l'une des nombreuses fonctions vitales de la terre. Celle-ci donne sa stabilité à la vie de l'homme; elle est le lieu qu'il habite; elle est une condition de sa sécurité matérielle; elle est le paysage et les saisons. Nous pourrions aussi bien imaginer l'homme venant au monde sans bras ni jambes que menant sa vie sans terre. Et pourtant, séparer la terre de l'homme et organiser la société de manière à satisfaire les exigences d'un marché de l'immobilier, cela a été une partie vitale de la conception utopique d'une économie de marché.”

La Grande Transformation (1944), Deuxième partie : Grandeur et décadence de l'économie de marché, Chapitre 15 : Le marché et la nature

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