“Le vieillard était assis sur le plancher et ne se levait pas.
– Est-ce ainsi qu'on se sépare ? Idiot ! Ah ! voilà les gens de maintenant ! On a fait bon ménage toute une année, et puis : adieu ! et le voila loin. Mais moi je t'aime, j'ai pitié de toi ! Tu es si malheureux, toujours seul, toujours seul. Tu es mal aimé, on dirait ! Des fois je ne dors pas, je songe à toi, et j'ai pitié. Comme on dit dans la chanson :
Il n'est pas commode, non, frère,
De vivre en pays étranger.
C'est comme ça pour toi.”
Les Cosasques, 1863
Léon Tolstoï 49
écrivain russe 1828–1910Citations similaires

Deuxième journée, 6

Vivamus, mea Lesbia, atque amemus...
soles occidere et redire possunt:
nobis cum semel occidit brevis lux,
nox est perpetua una dormienda.
Da mi basia mille, deine centum,
Dein mille altera, dein secunda centum,
deinde usque altera mille, deinde centum.
Dein, cum milia multa fecerimus,
Conturbaminus illa, ne sciamus,
Aut ne quis malus invidere possit,
Cum tantum sciat esse basiorum.
la
Poème 6.
Source: Pièce de monnaie romaine de très faible valeur.
Journal d'un mauvais Français, 2012