Maximes et pensées
“Les premiers livres de philosophie que j’ai lus, sauf erreur de ma part, furent, dans l’ordre, les Pensées de Pascal, Crainte et tremblement de Kierkegaard, puis Le Mythe de Sisyphe de Camus. J’avais 16 ou 17 ans. J’étais chrétien. Le premier de ces livres s’était imposé par une espèce d’évidence. Le deuxième m’avait été conseillé par l’aumônier de mon lycée, le très charmant et très charismatique Bernard Feillet. Le troisième, ces années-là, était dans l’air du temps. Beaucoup de contingence, donc, comme il convient à cet âge.”
Du tragique au matérialisme (et retour): Vingt-six études sur Montaigne, Pascal, Spinoza, Nietzsche et quelques autres
Thèmes
année , partie , livre , air , âge , ordre , conseil , conseils , conseiller , part , philosophie , chrétien , mythe , imposition , espèce , deuxième , premier , crainte , troisième , évidence , lycée , tremblement , aumônier , ans , contingenceAndré Comte-Sponville 24
philosophe français 1952Citations similaires
Ne dites pas à Dieu ce qu'il doit faire, 2004
Don't bother to answer back. Anything said to me at this point might as well be written on a decomposing squash. The brain goes first, you know -- except the portions dedicated to pain, which are apparently immune.
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Untold Decades: Seven Comedies of Gay Romance (1988)
Au moyen du Moyen Age : Philosophies médiévales en chrétienté, judaïsme et islam, 2006