Nakayama Miki citations

Nakayama Miki , 18 avril 1798 – 26 janvier 1887, est la fondatrice de la religion tenrikyō qui l'adore comme sanctuaire de Dieu le Parent. Le tenrikyō est sans doute la plus grande religion actuelle fondée par une femme. L'hagiographie tenrikyō indique qu'elle était une sainte femme née d'une famille de paysans riches dans ce qui est aujourd'hui la préfecture de Nara. Très pieuse, elle voulait devenir moniale bouddhiste mais contrainte à un mariage difficile avec un certain Nakayama Zenbei, elle le supporte avec ce que les adeptes du tenrikyō considèrent comme une patience et une vertu admirables.

Selon les écritures tenrikyō, c'est en 1838 à l'âge de 40 ans, qu'elle est devenue medium pour Dieu après avoir pris part à une cérémonie shugendō d'exorcisme. Au cours de la cérémonie, « Dieu le parent » a parlé par sa voix et dit « Je suis le Dieu d'origine, Dieu dans la vérité. Il y a causalité dans cette résidence. En ce moment je suis descendu ici pour sauver l'humanité tout entière. Je souhaite recevoir Miki comme le sanctuaire de Dieu ».

Elle a déclaré que son nom était Tenri-Ō-no-Mikoto mais elle se référait également à lui comme Tsuki-Hi et, comme le font encore les adeptes du tenrikyō, « Dieu le parent » . Après la mort de son mari, elle a prétendu avoir bénéficié d'une guérison miraculeuse et posséder des pouvoirs prophétiques qui ont servi à la mission qu'elle et sa fille ont commencé. Elles ont choisi une vie de pauvreté, donnant tout ce qu'elles pouvaient aux moins fortunés et ont fondé une nouvelle religion.

De 1866 à 1882, Nakayama Miki transcrit ce qu'elle juge être les révélations de « Dieu le parent », se croyant elle-même être son porte-parole et sanctuaire dans l'Ofudesaki . Elle a encouragé une vie de charité et conçu diverses danses spirituelles. Elle a été emprisonnée à plusieurs reprises sur l'initiative des sectes bouddhistes qu'elle et ses disciples critiquaient comme dispensant de faux enseignements et dans les années ultérieures, le tenrikyō s'est rapproché du shintoïsme d'État dans son enseignement, bien que Nakayama Miki elle-même s'est opposée à cette assimilation. Le tenrikyō enseigne qu'elle réside toujours dans son ancienne maison dans ce qui est maintenant la ville de Tenri, considérée comme le point d'origine de l'humanité.

Les interprétations profanes de sa vie et de son enseignement suggèrent qu'elle a puisé son inspiration à partir d'un amalgame du bouddhisme, du shinto et de la tradition yamabushi. Le tenrikyō, tout en insistant sur le fait que son enseignement était totalement original et sa pensée uniquement inspirée, consacre un département de l'Université de Tenri à l'étude laïque des religions de l'époque d'Oyasama, y compris les chrétiens japonais pré-Meiji. Wikipedia  

✵ 2. juin 1798 – 18. février 1887
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Nakayama Miki: Citations en anglais

“This path cannot be followed by human thinking. It is the path that is being formed by the law of nature.”

Anecdotes of Oyasama, Foundress of Tenrikyo, from Anecdote 17, "The Law of Nature," p. 13.
Anecdotes of Oyasama

“Now I shall begin to build a new world. Celebrate the occasion with Me!”

The Life of Oyasama, Foundress of Tenrikyo, p. 27
The Life of Oyasama

“Whatever I intend to do, I shall test it first on My own family.”

The Life of Oyasama, Foundress of Tenrikyo, p. 28
The Life of Oyasama

“However wretched you may be, never say you are wretched, for I shall never make beggars of you.”

The Life of Oyasama, Foundress of Tenrikyo, p. 33
The Life of Oyasama

“Oh, I am so glad to see you have come. God the Parent lent a hand to bring you home. You had a hard time, slipping at many places. However, you were joyful. Sah, sah, God the Parent accepts fully, fully. Whatever you ask, it is accepted. God protects you. Enjoy it, enjoy it, enjoy it!”

So saying, Oyasama grasped Rin’s cold hands with both Her own. It was something more than warming them over the brazier. Rin was moved with gratitude and awe at the inexpressible warmth of Oyasama.
Anecdotes of Oyasama, Foundress of Tenrikyo, from Anecdote 44, "A Snowy Day," p. 39.
Nakayama's exchange with Masui Rin, upon her arrival at the Nakayama residence during a stormy day.
Anecdotes of Oyasama

“You know there is the Fudesaki.”

What do you think of it? The seventeen parts of the Fudesaki were not completed in a short while. God spoke into my ears, saying, ‘Do not look at any writings, even the charge book from a bean curd shop.’ I wondered why. Then God said, ‘Brush, brush, take up the brush.’ I took the brush up for the first time at New Year’s when I became seventy-two years old. And when I took the brush up, My hand moved by itself. From heaven, God did it. After what was to be done was finished, My hand became numb and it could not be moved. God said, ‘Calm Your mind, and read this. If You find something You cannot understand, ask Me.’ I added brush strokes when I found something I could not understand. That is the Fudesaki.
Anecdotes of Oyasama, Foundress of Tenrikyo, from Anecdote 22, "Writing the Ofudesaki," p. 16.
Anecdotes of Oyasama